En spectacle aux Foufounes Électriques le 16 novembre prochain. Billets en vente
!La formation a reçu le prix André-Dédé-Fortin remis par la SPACQ, distinction qui honore les auteur.trice.s, les compositeur.trice.s et les interprètes émergent.e.s.
Après avoir offert la pièce
en avril dernier, une pièce aux accents plus pop et afrobeat, la formation continue dans sa lancée d’exploration électronique-funk et dévoile , cette chanson aux sonorités technos, sans se départir de leur disco punk signature, rappelant la scène indé New Yorkaise du début des années 2000.La musique plus froide et agressive, un style que le groupe voulait explorer depuis longtemps, ajoute à la tension des paroles, exprimant l’anxiété et la paranoïa.
La pression qui pèse sur mes épaules, M’étouffe et m’écrase sous son poids, Comme du plomb dans ma poitrine,
Comment s’aimer sans céder à la fatigue, De vouloir sans arrêter réparer, Ce qui n’a plus raison de vivre,
Je suis à genoux dans la boue
«
, c’est l’anxiété et la paranoïa qui accompagne le fait d’essayer de se prouver, explique le groupe. C’est le sentiment d’essayer sans relâche, de continuer de taper sur le clou sans toutefois éprouver quelconque soulagement. Même avec l’année incroyable qu’on a vécu, de notre passage à SXSW 2023 jusqu’à partir en tournée partout à travers les États-Unis, cette espèce de pression d’anxiété nous guette. »La thématique anxiogène de la chanson est visitée également dans
qui accompagne la sortie. Réalisée par Philippe Beauséjour, présente un mélange de techniques, entre autres l’utilisation du VHS, qui rappelle justement l’esthétique de la musique électronique des années 90 et le disco punk des années 2000.Après avoir brûlé les planches au MTelus, un peu partout au Québec et à l’international (USA, Allemagne, France), la formation sera de retour à Montréal
.